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12 juin 2008 4 12 /06 /juin /2008 19:44


Parfois il faut  reconnaitre qu'il est bien difficile d'être fidèle à son blog et moi, ces trois derniers jours j'ai été confronté au dilemme d'etre present sur mon blog ou de m'occuper de mes petites affaires!
j'ai cependant choisi la  solution la plus rentable  et  me voilà de retour pour éditer mon article demain à l'occasion de la  fête des pères qui sera là bientôt !

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3 juin 2008 2 03 /06 /juin /2008 19:41
TAGUE PAR N A T H

Merci Nath, Je répondrais avec plaisir !

But du jeu : répondre à six question, mettre le lien de la personne qui a tagué et le lien de six autres personnes à taguer en les avertissant directement sur leur blog et en précisant le règlement

1/ Un aliment ou un produit que je n’aime pas du tout : la cigarette

2/ Mes trois aliments favoris : fruits, poissons (seiche, calamar), fromages

3/ ma recette favorite : Irish stew (plat national irlandais)!

4/ Ma boisson favorite : l’eau ferrrrrrrugineuse, oui……..le reste non !

5/ le plat que je rêve de réaliser et que je n’ai toujours pas fait : vu l’immense intérêt que je porte à l’art de cuisiner je répondrais : omelette aux fines herbes !

6/ Mon meilleur souvenir culinaire : Irish Stew mangé dans un grand centre touristique et ce n’est pas tant le plat lui-même qui m’avait marqué mais l’ambiance spécialement suédoise qui y prévalait !

J'invite tous ceux qui sont intéressés à repondre à ce questionnaire sur leur blog!



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24 mai 2008 6 24 /05 /mai /2008 17:50
je souhaite une bonne fête à toutes les mamans!

Juste pour rire: Discours de deux extrémistes de la cause féminine:

 -"Sans les femmes,que serait l'homme?"
 - "Il ne serait rien, il n'aurait même pas existé!"
 - "A quoi sert-il alors dans la vie, puisqu'il est bien là , avec nous?
 - "En faite il ne sert à rien .....
     sauf qu'il aurait bien pu être un genre de poupée gonflable que la femme aurait gardé dans son sac et qu'elle         
     pourrait retirer et gonfler pour les occasions...torrides!"


ADOUR ABDELMADJID
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20 mai 2008 2 20 /05 /mai /2008 09:43
MARIAGES MIXTES

Après les paillettes et les douces promesses que permet l'amour, voici venu le temps de compter les différences et d'en tenir compte dans la vie de tous les jours, dans l'éducation religieuse ou autre des enfants à cheval entre deux cultures, deux religions, deux façons de voir les choses. Après coup, il faut savoir accepter l'autre sous un autre visage que celui connu lors de l'effervescence amoureuse et il faut savoir gérer la nouvelle vie! Si le mariage réussit, c’est bon et c’est parce que une partie ou l’autre du couple aura été capable de dépasser les dissimilitudes et d’avoir été plus que tolérante mais si le contraire est avéré, il faut subir alors les affres de l’animosité et parfois des batailles judiciaires qui s’ensuivent si l’on a au préalable échappé à la condition de femmes battues et aux scènes de violences qui laissent en général toujours des séquelles !

Alors ?

Alors il faut parfois essayer de vaincre cet instinct d’animal en rut qui nous prend des fois et d’être lucide au point de pouvoir faire la part des choses au départ d’une idylle amoureuse !

C’est Sénèque, précepteur de Neron qui a si bien dit : « Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait ! » Malheureusement les regrets arrivent toujours trop tard, n’est ce pas !

Ceci est le thème de mon roman " la musulmane de Suède" publié chez Publibook (www.publibook.com) et disponible sur Amazon.fr ou Fnac.fr ou Chapitre.com
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19 mai 2008 1 19 /05 /mai /2008 17:46

Pourquoi cette  impression d’être seul même entouré ?

Vous arrive-t-il de vouloir aller habiter seul sur la lune ?

Vous arrive-t-il de vouloir déchirer vos vêtement tellement vous étouffez dans cette atmosphère de routine, de rituel, de coups bas, de peur de l’autre, de peur de soi-même !

Vous arrive-t-il de vouloir trouver refuge chez Lui, là-haut en vous adressant à lui: « J’ai tant  prié, Tu n’as pas daigné me répondre ! »

C’est dangereux de cultiver la solitude ! Il faut aller vers son prochain ! C’est la solution !

Ecrivez-moi, nombreux : je suis tellement seul !!

  

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15 mai 2008 4 15 /05 /mai /2008 18:29


 


...En hommage, aux couleurs de ce très joli blog !

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6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 14:33
Je dedie le poème de mon précedent article à tous ceux qui aiment la langue française. J'aimerai avoir les reactions de tous mes amis qui visitent mon blog
A bientôt
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6 avril 2008 7 06 /04 /avril /2008 14:14

Dona…. Madonna,
Don de Dieu !
Du haut de ton éminence
Ici jalousée ( !)
Et de l’abysse de ma différence, 
Mon regard ardent
S’abreuve de  ton coruscant
Te  magnifie à sens unique, toi   

La Patricienne
De mes aspirations !

Assujetti depuis des générations !
Quémandant  
Quelque bouée sauveuse
Pour immuniser mon ego,
Je briserai à coup de missile
Longue portée,
Les servitudes qui répriment
Mon émancipation !
Las d’être soumis à celui-ci
Puis à celui-là
Alors qu’en face
Il y a toi !                                               
Eminente.

Émérite.

Que lumière,  en moi
Se génère
Par ton esprit,
Ton génie
Et tes lettres  !
Pour étancher
Ma soif d'inculte !
Pour imiter, concevoir
Les  lacis du savoir
Par toi  essartés depuis des lustres !
Pour conjurer ces démons,
Ces  rustres
Pontifes de l’obscurité !
Qui assassinent les étoiles !

Du goût, du raffinement,
Gerbe de cytises !
De  la pureté de ton expression,
Harmonie séraphique !
De ton accent insolent
De  tes valeurs et blasons
De ton  affection,
De  tes tares même,
De tes imperfections
Je suis épris, 
Passionnément 
Irrémédiablement !

Langue adulée !
Pierre en tout précieuse
Fors en sentiments
Réprouvée ici pourtant
Ton soupirant
A sens unique                                        
Te clame haut
Sa flamme,
Son amour avéré
Si tu condescends
A le souffrir !
Toi Langue de Molière
Madone séraphique

Tu as  contribué
A mon déchirement !
Quête d’identité,
Je suis fier pourtant
De prendre parti pour toi !
De  déployer ton label
Immarcescible en moi !
De te déclarer allégeance
De saisir la pertinence
D’être claustré dans ton 
rang
Toi, Langue de Molière
Madone  révérée

Ceux-là même,  que ton sein a nourris,
Privilège d’en frôler l’aréole,
Qui savourent  ton opulence,                           
Qu’ils désavouent du reste,
Ne peuvent
Te magnifier
Comme moi, de loin
Je te glorifie 
En  esquissant tes lexies
Soyeuses caresses,
Jouissant comme l’on éjaculerait
D’une femme tant désirée !
Parce qu’écrire est un acte sexuel !
Je te respire !
Toi, Langue de Molière
Madone estimée

     

 

 

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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 11:38
Je publie ci dessous, en primeur, un extrait de mon roman "Sequestrée pour mariage de jouissance" que je compte publier bientôt, le manuscrit étant déjà au niveau du comité de lecture de ma maison d'édition.
J'invite tous mes amis de passage sur mon blog à le lire et à m'en faire un commentaire,
Bonne lecture et merci pour vos réactions
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3 avril 2008 4 03 /04 /avril /2008 10:57
11/ L’INTARISSABLE SOUVENIR DE MARIA C’est l’aube et les premières lueurs du jour nouveau venaient caresser agréablement les yeux de Yiker ! A peine sorti de son lit il prit place dans le petit balcon attenant à sa chambre. Il fit face à l’immensité de la nature hostile mais si belle de l’Aïr. Tin Telloust est perché sur une crête dominante. Une couleur rouge ocre enveloppait l’horizon vierge. Des nuages épars semblaient vouloir à tout prix s’imprégner, s’imbiber absolument de sorte à en faire partie intégrante, de cette lumière naissante ouatée, douce : ils aspiraient visiblement à entrer de plein pied dans la fresque du jour levant qui se réalisait peu à peu et qui s’éclairait des lueurs rosées de l'aurore naissante ! Yiker Genséric perçut un frémissement, un mini-choc électrique sur son épaule et tout son être vibra un moment. Il venait d’éprouver un sentiment étrange devant le grandiose tableau, un sentiment d’appartenance de tout son être à un grand artiste possessif qui a la possibilité d’ensemencer tant de vies même dans ce désert reculé et d’instituer en face…. La mort ! Oui, il reconnaît être la propriété de celui qui a peint cette immense toile et qui va, sûrement un jour, le déplanter du tableau et le ramener chez Lui pour juger ses actes ! ......Il se mit au travail. Il voulait d’abord, comme première action de cette journée, écrire un message, puis descendre à pied vers la ville de Ain Zaouia distante d’une vingtaine de kilomètres pour poster son message s’il existe une agence postale et ramener quelques vivres qu’il ne trouvait pas à Tin Telloust ! Il ne le sait pour l’instant mais il trouvera bien le moyen de transmettre un écrit à son ex femme perdue à jamais de son environnement, de son giron, mais présente pour la vie dans sa mémoire et ses rêves comme l’outil charmant de l’accession à la vie et à la volupté céleste ! Cette femme, sa désormais ex-femme, Maria, l’a marqué de façon indélébile, à jamais, depuis le jour où son parfum de compagne sans pareil, s’est incrusté dans son subconscient, depuis le moment où la tendresse inouïe, qu’il a découvert en elle, s’est imprégnée, scellée dans son intimité profonde. Il appartient corps et âme à elle depuis le jour où elle l’a accueilli et adopté de façon toute spontanée et naturelle, sans artifices, sans fausseté. Il est toujours à elle malgré le faite qu’elle soit maintenant devenue une antagoniste pour lui, sous l’influence néfaste de son environnement social particulier. Oui, il sera toujours à elle car c’est bien elle qui a authentifié, par une nuit immarcescible, la qualité d’homme de Yiker Genséric et pour cela il sera à jamais reconnaissant, obligé à l’égard de Maria ! Jusque là, jeune, il n’avait pas répondu à une question lancinante dans son esprit : Est-ce que l’amour est le but avoué de l’acte sexuel ? Est-ce que l’acte sexuel est la finalité de l’amour ? Avec Maria il comprit que ces deux questions se confondaient, s’unissaient intimement comme s’unit le couple même dans une reconnaissance mutuelle et dans un hymne à la nature ! Il comprit aussi que l’amour est le levain de cette « pépinière » qu’est la vie, que c’est l’amour qui garantit l’existence et la joie de la mort et du Créateur ! En transmettant son écrit, il savait pertinemment que personne ne répondrait jamais à sa lente agonie morale mais il enverra quand même sa correspondance, comme l’on jetterait une bouteille à la mer. « Oh Maria, ma mémoire scélérate, ma mémoire bourreau me harcèle et les beaux souvenirs de toi se font confus puis s’éclaircissent et s’entremêlent à la laideur de mon parcours ici ! » « Mon chagrin d’amour n’est que souffrance et ma plaie ne cesse de se rouvrir et de se refermer ! » « Oh Maria ! Si tu savais dans quels malheurs je baigne, toi qui me disais toujours dans ton gauche anglais : « take it easy ! » Je comprenais par-là qu’il fallait arrêter d’être si bouillonnant, si enflammé. En faite, je n’ai jamais su écouter ta sagesse et je me suis toujours comporté de cette manière là peut-être trop active, ardente même, j’ai toujours estimé que la vie était un challenge à vivre, un conflit perpétuel à affronter, un défi à relever sans jamais baisser la garde, sans défaillir………Pour en arriver là, veule et gauche, à cette conclusion malheureuse, infortunée et désespérante. J’en suis maintenant à regretter d’avoir accompli tout çà, lamentable constat ! J’aimerai tellement que tu sois là pour me redire encore « tale it easy ! » Ah si j’avais pu comprendre ta juste vision des choses, toi qui me demandais de devenir ton roi de Suède à toi ! Toi qui me demandais de devenir ta propriété privée, ton capital, ton avenir ! Toi qui m’implorait de vivre avec toi une odyssée de l’espoir ! J’ai choisi, gauchement, l’indigne et coupable destinée aidant, de délaisser le joyau, la merveille, au profit du risque et du péril ! Cheh ! Comme on dit si bien chez nous, en Kabylie ! Je suis conscient dès lors que je symbolise finalement la malchance de celui qui est arrivé à la source et n’a pas pu boire de son eau ! Pardon ! Je te supplie de me pardonner cette faute que je n’ai pas commise, cette faute que d’autres ont commise à mon insu, par leur comportement condamnable, et qui t’a induite en erreur à mon sujet ! Aurait-il fallu renier ma religion pour n’appartenir exclusivement qu’à toi ? J’ai vécu les plus beaux jours de ma vie avec toi mais je t’ai partagée partialement avec Lui ! N’aurait-il pas fallu que Celui à qui j’adressais les ferventes oraisons de ma foi certaine, qui n’avait rien d’intégrisme, comprenne qu’Il prenait toute la place dans mon coeur au point de t’avoir perdue à jamais ! Il pouvait bien m’autoriser à t’appartenir un peu plus ! Serait-il alors un despote, possessif ou alors n’aurais-je pas, moi-même, compris mes excès de prières proclamées exclusivement à Lui en écartant ta douce présence et tes appels, en refusant d’adresser à toi aussi des méditations, des supplications de reconnaissance et de gratitude pour le seul bonheur de te sentir exister autour de moi comme la fragrance divine d’un encens volatile suave et enivrant qui me ceignait ! Je ne rendais hélas pas compte que je vivais le paradis sans l’apprécier ! Je sais que j’écris à une disparue qui est pourtant toujours près de moi malgré la douloureuse et insupportable séparation ! Cet éloignement est éternellement caractérisé par la tristesse et la peine et les mots ne seront jamais assez forts pour exprimer ma profonde et irréversible pénitence, mes regrets et mon interminable supplice ! Aussi je t’écris comme j’aurai écrit à une absente sachant que ton indéfinie absence se révèle être une torture pour moi et sachant que je n’aurai pas d’écho à ma complainte aussi bouleversante fut-elle ! Tu me manques comme le « joint » manque à un malheureux toxicomane ! Je meurs de chagrin, petit à petit, à petit feu et chaque instant qui passe sans toi est mort, souffrant de ne pas être mort en ta présence, parti irrémédiablement, éteint lentement et qui ne reviendra plus jamais comme moi je m’éteins tout aussi doucement, jour après jour, mois après mois. J’aurai tellement aimé m’éteindre et finir nulle part ailleurs que près de toi ! Mes nuits ne sont plus détente depuis que le creux de ta jambe et ton divin triangle sacré ne se pose plus dans un élan machinal sur ma hanche, gage inévitable de sommeil, depuis que nos mains ne s’entrecroisent plus pour souligner notre alliance que je croyais éternelle, depuis que mes joues ne frôlent plus l’aréole sacrée de ton menu sein, en somme, depuis que tu n’es plus là ! Ton absence est l’équivalent d’un sabre sanguinolent qui accable mon pauvre cœur ! Un esprit grossier et veule, conscient de ma détresse, essaie maladroitement par pitié envers moi, de remédier à mon désarroi en faisant des apparitions immatérielles, copies conformes de toi ! Ce fantôme (tu es bien vivante ?) qui te ressemble tellement par ses apparences, ses lubies et ses frasques que je ne comprends d’ailleurs pas, ne cesse de me harceler ! Il refuse de me quitter comme moi je déplore ce fait accompli ! Il me suit jusque dans ce désert immense aidé peut être par ta connivence ! Comment a-t-il pu retrouver ma trace ? Mais ton absence ne peut jamais réellement être comblée, ni par mes rêves ni même par le plus adroit, le plus scénique et le plus spectaculaire des démons imposteurs! La date de notre séparation inéluctable, je l’entretiendrai dans mon âme comme ce sabre ensanglanté qui déchire mon cœur meurtri et qui se garde bien de l’achever, ce qui aurait contribué irrémédiablement à compromettre et à emporter à jamais son agonie et enfin à consumer et occire à leur tour le supplice et le tourment qui l’ont envahi et qui le possèdent perpétuellement depuis que ton parfum singulièrement enivrant ne me cerne plus ! Tu es, toi-même, torture insidieuse suspendue au-dessus de mon âme, qui n’a de cesse de me harceler, de détruire mes espoirs et d’enduire d’amertume tout ce que j’entreprends dans ce bas monde exécrable désormais à mes yeux ! Hélas, toi, qui es devenue la torture personnifiée à mon encontre, tu planes au dessus de mes rêves, de mes aspirations, de ma vie, accrochée à quelque fil céleste, à me narguer, à vouloir tout régenter d’en haut et à vouloir détruire tout ce que j’entreprends ! Ce jour là qui marqua notre séparation, ma douleur indélébile, fut celui qui me fit maudire à jamais mon séjour ici bas et j’ai hâte de terminer ce transit obligatoire qui me mènera vers la vraie vie et qui me fera te rencontrer à nouveau pour l’éternité…………. Peut-être ? A l’aube pleine d’espoir du printemps parfumé que tu m’as donné, succédera alors l’automne grisonnant qui marquera à jamais le début de la fin pour toi et pour moi ! Inhibition pour toi, rose en disgrâce, qui verras, incrédule et impuissante, tes pétales se consumer et brûler sous le regard cruel du « terminator », la mort, ce monstre immuable, faucheur insensible à notre peine conjointe ! Dislocation pour moi aussi, nuage né de la fumée de notre semblant d’amour démasqué qui s’effacera de l’immensité du ciel enfin débarrassée d’un infortuné fauteur impénitent que je suis et que je ne serai plus dès lors ! Ce n’est que là enfin, dans l’immensité heureuse, qui doit sûrement ressembler aux champs de glace apaisants des fjords de ton pays, que je verrai ma meurtrissure se résorber et mon âme retrouver la paix, en ta compagnie enfin reconquise! …………….Mais tu ne sais rien de ce que moi je ressens !
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